Traumatisme historique

Lire l’esclavage dans les archives cinématographiques

Michel Martin
Michael Martin, professeur au Département de communication et culture et programme d’études américaines de l’Université d’Indiana (États-Unis). Il est également directeur du Black Film Center/Archive à l’Université d’Indiana.

Cette adresse aborde la mémoire, son historicité et son importance pour les récits cinématographiques et les lectures de traumatismes historiques. Il s’agit également de la pertinence de la mémoire pour le projet de fabrication du monde. Cet article se concentrera sur la représentation filmique de l’esclavage dans les sociétés de plantation. Deux films vont dans ce sens : Queimada ! (1969) du défunt marxiste italien Gillo Pontecorvo et La Rue Cases-Nègres (1982) du cinéaste martiniquais Euzhan Palcy.

Traumatisme historique

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Michel Martin
Michael Martin, professeur au Département de communication et culture et programme d’études américaines de l’Université d’Indiana (États-Unis). Il est également directeur du Black Film Center/Archive à l’Université d’Indiana.

Cette adresse aborde la mémoire, son historicité et son importance pour les récits cinématographiques et les lectures de traumatismes historiques. Il s’agit également de la pertinence de la mémoire pour le projet de fabrication du monde. Cet article se concentrera sur la représentation filmique de l’esclavage dans les sociétés de plantation. Deux films vont dans ce sens : Queimada ! (1969) du défunt marxiste italien Gillo Pontecorvo et La Rue Cases-Nègres (1982) du cinéaste martiniquais Euzhan Palcy.